La mort annoncée du chef du Hamas, Ismaël Haniyeh tué à Téhéran en Iran, ce mujahid à la tête du mouvement révolutionnaire responsable du massacre du 7 octobre en Israël, s’ajoute au décès du commandant militaire du Hezbollah jugé responsable du tir sur le Golan qui avait tué 12 enfants. Si certains y voient une escalade du conflit, d’autres approuvent ces actes militaires qui ne sont que de simples représailles au pogrom perpétré par l’État islamiste qui, faut-il le rappeler, avait organisé, prémédité et outrageusement exterminé des civils puis pris en otage parmi des femmes et des enfants ostensiblement violées, démembrées, le tout filmé et posté sur les réseaux sociaux par ces « soldats » de l’enfer. Le berceau du mal ne fera jamais oublier les 1200 personnes assassinées ni les 37 enfants volontairement égorgés quand la communauté internationale s’indignait déjà, elle qui aujourd’hui ne sait plus où se trouvent ses intérêts devant tant d’émotion. Ceci n’est pas une ascension vers une guerre généralisée, mais bien la preuve qu’un état, seul au monde, continue de se battre contre les forces de l’obscurantisme jusqu’aux portes du calvaire pour les martyres israéliens, ces défenseurs de l’humanité.